Résumé :
Mon avis :
C'est donc avec une joie non dissimulée, que j'ai ouvert ce tome.
L'histoire est rondement menée, avec des rebondissements, justes quand il le faut.
Les liens qu'entretiennent les personnages sont plus compliqués qu'il n'y paraît et tout ça nous tient en haleine. Leurs sentiments vont être malmenés, passant par des chemins tortueux face à la jalousie, aux jugements et aux conspirations. Mais ça ne fera que renforcer les personnages et leurs affections mutuelles.
Leur histoire n'est pas prête à se terminer puisque tous les secrets n'ont pas encore été dévoilés.
Rendez-vous donc pour la sortie du tome 3 (mon dieu ça va être long!!), et j'espère qu'il me plaira tout autant que les deux tomes précédents :D
C'est donc un coup de coeur pour moi ♥
Extrait :
Pendant un moment d’insouciance, il continua à jouer avec sa longue chevelure soyeuse. Puis il se rendit compte qu’elle ne bougeait plus du tout.
– Que se passe-t-il ?
– Ne me tiens pas la tête, s’il te plaît.
– Je n’en avais pas l’intention.
Il semblait perturbé. Elle demeura parfaitement immobile, comme si elle attendait quelque chose. Il n’aurait su dire quoi. Il lui lâcha les cheveux pour lui relever le menton.
– Mon cœur ?
– Euh, c’est seulement parce que… je-ne-veux-pas-te-vomir-dessus.
Elle avait murmuré ces derniers mots.
– Pardon ?
Elle baissa la tête.
– Il m’est déjà arrivé… de vomir…
Il la considéra d’un air incrédule.
– Quoi, après ?
– Euh… non.
Il demeura silencieux un instant puis plissa les yeux.
– Tu étais malade à cause des haut-le-cœur ou parce que cet enfoiré te tenait la tête ?
Elle eut un mouvement de recul et hocha presque imperceptiblement la tête. Gabriel jura, fou de rage. Il se redressa rapidement, se passant les deux mains sur le visage. Par le passé, il lui était arrivé de ne pas se montrer très tendre avec ses conquêtes, même s’il s’enorgueillissait d’avoir toujours fait preuve d’un semblant de bonnes manières. Un peu moins quand il était sous cocaïne. Malgré les bacchanales auxquelles il s’était livré, des fêtes parfois dignes de la décadence romaine, il n’avait jamais tenu une fille par la tête au point de la faire vomir.
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