Lu en partenariat avec les éditions La Musardine
Résumé :
Conversations débridées, humour, manigances, rencards clandestins et parties de jambes en l'air décoiffantes sont au menu de ce roman qui vous tiendra en haleine jusqu'à la dernière page.
Mon avis :
C'est donc avec un réel plaisir que j'ai découvert cette lecture plus qu'inspirante et amusante dont certaines amies m'avaient vantées les mérites.
Charlotte est une jeune femme dynamique, bien dans sa tête et dans son corps, puisqu'elle est adepte du bio, mais côté libido c'est un peu le grand fiasco. Heureusement que sa troupe de BFF est là pour relever le niveau en lui racontant leurs aventures sexuelles extravagantes.
Elle est en compagnie de son meilleur ami Benjamin, photographe pour son blog culinaire, quand elle apprend par l'intermédiaire d'un message sur son répondeur que son petit ami la trompe. Elle le fiche donc à la porte de chez elle (changement de serrure oblige et vengeance à la javel sur les fringues).
C'est là que la véritable aventure commence et que les éclats de rire n'ont cessés de joindre ma lecture. Entre les virées loufoques en soirée SM ou les coups fourrés envers son nouveau directeur qui a décidé de plagier son blog culinaire, Charlotte va vivre à 100 à l'heure.
Elle fera également la connaissance de Stan, un jeune inconnu, qui réussira à captiver son attention en devenant de plus en proche avec elle. Après les échanges de mails, de sms ou les appels téléphoniques, elle le rencontrera mais tout en gardant un certain anonymat lors de leurs approches sensuelles, grâce à des bandeaux sur les yeux.
Les scène de sexe sont à chaque fois différentes et ne font qu'apporter un plus à ce livre déjà fabuleux. J'ai énormément appréciée ma lecture, et je suis prête à le recommander à toutes mes amies ;)
Extrait :
Devant son attitude défensive, Dino s’expliqua, un sourire malicieux aux lèvres :
« Eh bien, Princesse, pour quelqu’un qui n’est ni sado, ni maso, on en trouve de belles dans ta chambre ! »
Mais bien sûr ! C’était la cravache que Déborah lui avait prêtée pour dominer Boris. Où Dino avait-il donc été fouiner pour tomber dessus ?
« Ce n’est pas à moi, c’est à ma copine Déborah, s’empressa de répliquer Charlotte, sans réel espoir de convaincre son interlocuteur.
— Eh, ça va, lui dit-il en contournant le comptoir de la cuisine pour s’approcher d’elle, tu fais ce que tu veux, ma chère, je te juge pas. »