Résumé :
Mon avis :
Maggie aurait du être à la place de Krystal, il y a quelques mois. C'est elle qui aurait du attendre William au pied de l'autel dans une robe blanche, mais elle en a décidé autrement. En quittant la ville précipitamment deux jours avant la cérémonie, elle a également prise la plus dure décision de sa vie de jeune femme.
Aussi, quand la cérémonie de mariage est interrompue, c'est immédiatement Maggie qui en est la cause, même si elle n'a rien à se reprocher. Elle n'a pas envie de se retrouver ici parmi la foule, et quand elle croise un charmant homme du nom d'Asher dans le jardin de la propriété, elle est loin d'imaginer qui il est vraiment.
Le livre est écrit de 3 points de vue différents, celui de Maggie, Asher et William, histoire de bien se mettre dans la peau des personnages et je trouve ça super chouette, car du coup on peut bien imaginer ce que chacun ressent ou pense. Le petit moins, c'est le mystère que cache Maggie, son passé trouble qui surgie, parce qu'on met un moment avant de le découvrir, du coup on a l'impression que l'histoire est un peu brouillon. Même si j'avais deviné à un moment donné (hein ma Sacha), oui parce que pendant ma lecture, j'ai harcelé ma folle de message comme elle l'avait lu quelques jours avant moi.
N'empêche à part le fait que l'histoire commence un peu bizarrement avec la soeur de Maggie qui va épouser l'ex petit-ami (ça ne me viendrait jamais à l'idée de faire ça, même pas si c'était l'ex d'une copine tiens), j'ai passé un agréable moment de lecture, je dirais même plus puisque je l'ai dévoré en à peine plus de 24 heures.
Extrait :
C’est grotesque. Un moment je prends mon pied comme une folle, son corps collé contre moi, le dos appuyé contre le frigo, et le moment d’après, il est là à s’excuser ! On était à deux doigts d’avoir ce qui, j’en suis sûre, aurait été le nec plus ultra du sexe dans la cuisine, et tout d’un coup, il a fallu que monsieur Gentil Garçon vienne tout foutre en l’air en s’excusant. Pour un mauvais garçon, il est plutôt du genre nul.
Maintenant, il est là à me regarder, assis à ma table de cuisine.
– On ne t’a jamais dit que tu étais lunatique ?
Il fait sans doute allusion au fait que je déambule furieusement dans la maison depuis qu’il a prononcé ce mot imbécile, au moment même où j’atteignais le septième ciel.