Résumé :
Mon avis :
Et comment vous faire comprendre ce que j'ai ressenti en lisant ce livre numérique, à part vous en faire des louanges ?
Entre fous rire et crise d'hystérie riresque, entre poilades et amidalorisette (ne chercher pas dans le dictionnaire, le mot n’existe pas mais les bitches m'ont converties à leurs vilains mots), j'en ai presque fait pipi dans mon string à chaque fois que je me fendais la poire.
Ma tablette (mais pas de chocolat) m'a tenue compagnie une paire de nuits ces derniers temps. J'avais décidé de ne pas le lire dans la journée, parce qu'avec les enfants à la maison pas évident de sauter sur zhom à cause de ma lecture Jajabesque.
J'ai donc passé des moments délirants en compagnie de Jaja et ses morues, du 4B et de la guêpe.
J'ai découvert des univers que je connaissais parfaitement (avec un mari fan de UFC et de boxe), les séances d'épilation chez l'esthéticienne (je suis retournée à ma crème d'épilatoire depuis, ça fait moins mal), les soirées en club où tu danses sur les bars (j'évite le bar en général c'est chiant à grimper dessus avec des talons de 12cm, la barre de pole-dance c'est mieux).
Et puis surtout, apprécier cette lecture car pour une fois l'auteur n'avait pas d'utiliser des mots choquants, je n'avais pas l'impression de lire un truc chiant, mais un truc super palpitant, excitant les neurones et les poils.
Enfin bref, je vous le conseille grandement, c'est un vrai coup de coeur et surtout n'hésitez pas à découvrir l'univers de Bora-bora's Bitches par ici :
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Et maintenant je vais aller discuter avec Jaja sur FB et voir quelle autre connerie elle aura faite aujourd'hui.
Extrait :
J'entends la clé dans la porte. Je m'éloigne de lui quand je vois débarquer la Syphilis énervée comme jamais. Elle a le don de toujours nous interrompre au mauvais moment. Elle est nuisible, j'en ai décidément la preuve tous les jours !
– Mais merde crever en pleine campagne et pas un trou du cul pour m'aider !
– Même habillée comme ça ? C'est un comble !
Je la regarde, elle porte une robe très près du corps, qui ne laisse aucune place à l'imagination.
– Les mecs c'est plus ce que c'était ! lui répond 4B.
Elle nous regarde tous les deux, comprenant ce qui était ou ce qui aurait dû se passer.
– Vous avez la tête à avoir fait des cochonneries !
– J'aurais bien aimé dire oui mais tu es arrivée beaucoup trop tôt, enchaîne 4B.
– Et je ne compte pas repartir mon chou, alors tu prends ta trique et tu vas aller t'asseoir sur ta béquille, lance-t-elle en se dirigeant vers sa chambre.
Je la suis des yeux et je ne vois pas 4B derrière moi, il est tellement proche que mes miches chantent la Lambada dans mon pantalon.
Un autre avis chez :
- TAHICHA'S CHRONICLES
- LES PASSIONS DE SASHA
- MON REPAIRE LITTERAIRE