Lu en partenariat avec Milady pour le Ladies Club
Résumé :
Mon avis :
J'avais déjà eu l'opportunité de lire le tome 1 de cette série, c'est donc avec plaisir que j'ai découvert les aventures de Justin Rodale et de Clarissa Kincaid, dans ce tome-ci. On apprend dans le premier tome la petite mésaventure qui arrive à Clarissa et qui nous permet déjà de nous mettre facilement dans ce roman.
Justin Rodale est le fils illégitime d'un comte, il n'est pas vraiment à sa place dans la haute société et son travail n'arrange pas vraiment les choses car il est tenancier d'une maison de jeu. Il est loin d'être un gentleman ou un futur époux parfait une jeune femme parfaite.
Clarissa est une jeune ladie en apparence, elle a reçu une bonne éducation depuis qu'elle est enfant, mais elle est loin d'être aussi irréprochable qu'elle le montre en société, elle n'hésite à se mettre dans les problèmes par amour pour un gentleman, qui la charme mais qui est loin d'éprouver pour elle ce qu'elle ressent pour lui.
Sa passion pour George Wilbanks en est presque insupportable pour ma part. Comme le dis si bien Saint-Exupéry dans Le Petit Prince : « On ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux. » Clarissa manque vraiment de discernement dans cette histoire. Par moment elle m'a vraiment horripilée.
Elle n'hésite pas à demander à Justin de lui apprendre l'art de la séduction, alors que lui essaie de lui faire ouvrir les yeux sur l'avenir qu'elle pourra avoir si elle épouse George en adoptant le rôle d'ami et confident, mais quand Clarissa se retrouve à nouveau au coeur d'un scandale, Justin n'hésite pas à l'épouser pour la sortir de l'embarras.
La plume fluide de l'auteur m'a encore une fois transportée et j'ai dévoré ce roman en à peine quelques heures. Et je n'hésiterais pas à recommander la série à toutes les adeptes de romances historiques.
Extrait :
L’étoffe presque transparente ne laissait guère de place à l’imagination. S’il ne distinguait pas nettement son corps, le contour de ses courbes suffisait à lui inspirer un désir violent. La cambrure de ses hanches, sa taille fine, ses seins ronds semblaient comme un appel à lui faire l’amour.
— Dans cette tenue, ce n’est pas vous aider qui me vient à l’esprit.
Elle sourit.
— Voilà une bonne nouvelle.
Elle se mordit encore la lèvre, et ce geste d’innocence et de séduction mêlées était à se damner. Il se rappela cette nuit dans sa chambre, sa bouche sur son sein, Clarissa qui
savourait ses caresses sans la moindre gêne. Brusquement, il fut pris d’un désir intense
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