Résumé :
Mon avis :
Kathleen vient d'entamer une relation avec Andrew Blake. Après une nuit passée ensemble dans les bras de celui-ci, elle se sépare de son petit ami Daniel qui l'attendait dans son appartement.
Daniel lui fait une crise de jalousie phénoménale et elle le congédie de son domicile et de sa vie. Commence alors sa fabuleuse idylle avec Andrew, petit cadeau, coup de fil, sms ... Tout pour rendre Kat heureuse... Jusqu'au moment où la secrétaire d'Andrew commence à filtrer les appels de celle-ci.
Une plus grande ombre se rajoute au tableau quand Kat se fait harceler, au téléphone par des journalistes, sur son aventure avec Andrew. Tout n'est pas rose dans la vie de nos amoureux.
Heureusement, il reste toujours à Kathleen, sa correspondance avec son mystérieux inconnu, qui sans le savoir réussi à apporter un peu de soleil à la demoiselle, pendant ses moments difficiles de doutes au sujet de sa relation avec Andrew.
Emily Blaine sème une certaine intrigue sur son passage et il est presque impossible de réussir à se détacher de "Dear You" jusqu'au prochain épisode.
Alors rendez-vous le 22 novembre 2013 pour le prochain numéro ;)
Vous l'aurez compris c'est toujours un véritable coup de coeur pour moi.
Extrait :
– Il m’a chargé de vous accueillir et, pour être honnête, c’est la première fois que j’apprécie qu’il me refile son travail.
– J’imagine qu’il doit être exigeant.
– Il l’est. Mais il est incroyablement loyal, ça compense.
– Vous êtes aussi chargé de sa communication ? m’enquis-je.
– Je lui avais dit que vous le remarqueriez tout de suite ! Je ne suis pas doué pour… la subtilité.
– Oh…
– Donc vous m’excuserez d’avance, mais je me dois de vous dire que vous êtes absolument sublime ! commenta-t-il.
– C’est très gentil. Allez-vous me forcer à vous retourner le compliment ? plaisantai-je.
– Non… Pour deux bonnes raisons : la première, c’est que le décalage horaire va sûrement finir par me tuer.
– Ça ou la nourriture de l’avion ? souris-je. Oh non… Ça ou les hôtesses de l’air ? corrigeai-je.
– Kat, je suis… blessé ! s’écria-t-il, la main sur le cœur.
Je levai un sourcil, me retenant de rire.
– Vraiment ? demandai-je, dubitative.
– Non… En fait, je suis flatté que ma réputation soit venue jusqu’à vous et que vous ayez retenu toutes ces informations sur ma trépidante vie privée. Mais officiellement, vu qu’on se connaît depuis peu, je me dois d’être blessé !
– Et la seconde raison ? repris-je.
– La seconde raison paye mon salaire et déboule droit sur nous. S’il vous pose des questions, dites que j’ai été un vrai gentleman, chuchota-t-il rapidement avant de diriger son attention derrière moi.