Résumé :
Mon avis :
Dans cette histoire vous découvrez Sara Dillon et Max Stella, des amis des deux personnages principaux du premier tome Chloé et Bennett (Beautiful Bastard), vous pouvez aisément lire ce volume sans avoir lu le premier.
Sara quitte Chicago, sa famille, son emploi, son fiancé infidèle et part refaire sa vie à New-York en acceptant de travailler pour Ryan Media Group la société de Bennett, nouvellement implantée à Manhattan.
Lors d'une soirée entre filles, pour les fiançailles de son amie Chloé, elle va faire la connaissance d'un bel étranger et si celui-ci ne cesse de demander à Sara de passer la nuit avec lui, celle-ci décidera sur un coup de tête de se laisser emporter par la folie du moment et d'assouvir son envie de lui contre un mur de la boîte, avant de disparaître en lui laissant sa culotte et un souvenir indélébile de leur corps-à-corps endiablé.
Sara et Max se rencontreront par la suite à plusieurs endroits, et finiront par remettre le couvert dans différents lieux publics.
S'installeront alors quelques règles que Sara mettra en place, afin de facilité sa relation avec Max, mais elle sera loin de se douter que pour plaire à la belle Max sera prêt à tout, même à briser les règles. Mais celui-ci se prend des vents à chaque rencontre car Sara après avoir pris son pied, finira par prendre la poudre d'escampette.
Cela n’empêchera pas le play-boy de faire des pieds et des mains pour sa belle, et au bout du compte, elle finira bien par craquer.
Je ne vous en dit pas plus et vous laisse découvrir l'histoire par vous-même. En tout cas, le sexe est au rendez-vous, donc si n'appréciez que modérément ce genre de lecture, n'hésitez pas à passer votre chemin.
Extrait :
Le ciel gris de l’après-midi s’est éclairci, mais on sent que l’orage n’est pas loin. La voiture s’arrête devant les barrières, en face du musée. Un voiturier ouvre ma porte et je sors en fermant le bouton de ma veste de smoking. J’entends mon nom prononcé ça et là, les flashs des appareils photo éclatent de tous côtés, comme une petite tempête, dans la zone presse.
« Max ! Où est la fille ? »
« Max, une petite photo ! Vite, viens par ici ! »
« Est-ce que la rumeur sur le don à la Smithsonian Institution dit vrai ? »
Je souris et pose pour quelques photos, puis j’entre en faisant des signes de la main. J’ai l’impression d’avoir enclenché le pilotage automatique, heureux d’être parvenu à tenir la presse à distance ce soir. Je n’ai pas l’énergie nécessaire.