Résumé :
Mon avis :
Encore une fois, l'auteur talentueuse nous emmène vers un dénouement de l'histoire que nous n'attendions pas. Nous retrouvons donc Kathleen désespérée après sa rupture avec Andrew, qui demande à Nathan de lui venir en aide. Il est son dernier espoir.
Il accepte donc, sans vraiment avoir le choix, de venir la chercher à l'aéroport de San Francisco et de la conduire chez Andrew, en prétextant à celui-ci avoir un dossier urgent dont il doit discuter.
Les retrouvailles entre Kathleen et Andrew ne sont pas comme elle espérait, mais elle est prête à tenter le tout pour le tout. Et finalement après une discussion à coeur ouvert, Andrew finit par laisser tomber les barrières. Ils passent donc quelques jours ensemble et s'avouent mutuellement leur sentiment.
Ils profitent l'un de l'autre quand Andrew n'est pas dans son bureau à travailler et pendant qu'il est occupé, Kathleen fait une découverte dans la bibliothèque à laquelle elle ne s'attendait pas.
Son flair de journaliste met rapidement les morceaux de puzzle en place et en retournant à New-York, elle a la désagréable surprise de découvrir qui est la personne qui les menace Andrew et elle. Elle va donc tenter de protéger Andrew, en ne lui donnant plus aucun signe de vie.
Et par la même occasion, se mettra en danger en renouant une ancienne relation, afin de faire avouer le crime qu'il a commit lors de la mort d'Eleanor, la femme d'Andrew.
Tout ne se passe pas comme prévu, et quand Kathleen retourne à son appartement, elle a la désagréable surprise de voir que celui-ci à été mis en charpie. Le lit a été renversé, le matelas a été tailladé... Tout a été ravagé.
Emily Blaine nous laisse a nouveau sur une fin des plus inattendus. Qui se cache derrière l'autre côté de la porte ? L'attente va être trop longue jusqu'au prochain numéro.
Extrait :
Andrew me tournait le dos, les yeux rivés sur un écran d’ordinateur. Ses mains pianotaient doucement sur le clavier et il semblait concentré.
– Laisse-moi deux secondes, Nate, je finis ça ! lâcha-t-il sans prendre la peine de se tourner.
– J’ai tout mon temps, répondis-je d’une voix forte.
Andrew se raidit automatiquement et cessa d’écrire, avant de pivoter lentement sur son fauteuil. Un bureau de bois sombre se dressait devant lui. Il était impeccablement rangé, et seul trônait, près d’un stylo, un mug de café fumant. Son regard pénétrant me fixa avec intensité et ses mâchoires se crispèrent. Je reculai d’un pas, pas certaine de sa réaction.
– Que fais-tu ici ? demanda-t-il en se levant de son fauteuil.
– Je… Je suis venue te parler.
– Charmante intention. La plupart des gens s’annoncent… ou appellent mon assistante pour fixer un rendez-vous.