Résumé :
Mon avis :
Anita comme toujours a du mal a se défaire de ce que les gens pensent d'elle et ici c'est le petit Matthew, un gamin de 3-4 ans qui va la chambouler en lui disant : « Tous les grands garçons t'embrassent, Nita. » (d'où l'extrait choisi ;) ) Elle ne veut pas montrer le mauvais exemple.
Ensuite c'est Asher qui va foutre le bordel, parce qu'il ne reçoit pas ce qu'il veut (c'est à dire retrouver son intimité avec Jean-Claude) et puis c'est comme ça tout le long du livre... Les soucis s’enchaînent les uns après les autres.
Richard revient doux comme un agneau et on dirait que d'un claquement de doigts, il a enfin compris que s'il n'aidait pas plus Anita et jean-Claude rien ne fonctionnera jamais correctement au sein de leur triumvirat.
On ne retrouve pas notre nécromancienne préférée dans son travail, entrain de relever des zombies ou même lors d'une enquête policière. Du coup il manque un petit peu de cette magie qui me plait habituellement. Heureusement il y a un peu d'actions quand Richard se retrouve poursuivit par des tueurs à gages ou quand Anita se bat contre La Mère de Toutes Ténèbres.
Au final, Anita se retrouve encore une fois à choisir un nouvel homme dans sa vie (j'ai rien contre le partage moi ;) ). Cette fois c'est un tigre qui réveillera ses instincts les plus primaires. On tourne vraiment en rond cette fois-ci et j'espère que le prochain épisode réussira à me charmer un peu plus.
Extrait :
Mais une femme sait quand une autre femme est sur le point de la poignarder en plein cœur.
—C'est quand même marrant : quand tu couches avec tous ces mecs, ce n'est jamais ta faute.
Sur ces mots, elle tourna les talons et s'éloigna, laissant son couteau planté dans ma poitrine. Rien ne fait plus mal que d'entendre quelqu'un vous jeter à la figure ce que vous avez peur de vous avouer en privé. Même Matthew l'avait dit à sa façon : « Tous les grands garçons t'embrassent, Nita. »
Je fuis les enfants en costume et le regard de Monica qui voyait à travers moi. Quand Matthew, déjà en ligne avec les filles de son cours, m'appela, j'agitai la main pour lui faire coucou mais ne m'arrêtai pas.