Lu en partenariat avec les éditions Dominique Leroy
Résumé :
Jeu de poursuite, badinage ou punition : autour du thème commun de la fessée érotique, cinq auteurs ont pris la plume et nous livrent de courtes histoires.
Ce recueil contient les textes suivants :
L’amour badine de Karine Géhin, Électrodynamique quantique haute tension de Désie Filidor, Le Pensionnat de Gilles Milo-Vacéri, 88-89 de Stéphane Lourmel et Bonne Fille de Danny Tyran.
Mon avis :
J’ai choisi de lire ce recueil en premier, car il proposait des textes courts. Ces derniers temps, par manque de temps, je lisais un texte court, histoire de tout de même lire un peu.
C’est donc avec plaisir, que j’ai découvert ces différents auteurs que je ne connaissais pas pour la plupart. On découvre la fessée érotique, sous un oeil à chaque fois différent. Qu’elle soit polissonne par jeu ou punitive par choix, on se laisse facilement emporté dans notre lecture.
Avec Karine Géhin, on découvre la fessée donnée par jeu. Deux collègues de bureau qui se donne rendez-vous pour une course effrénée et qui au final se retrouve pris dans l’engrenage de leur volonté.
Avec Désie Filidor, on découvre une peintre et un électricien culotté qui promet une fessée.
Avec Gilles Milo-Vacéri, on découvre un jeu de mains, jeu de vilains entre pensionnaires de dortoir auquel se mèle une surveillante un peu zélée, qui a vite fait de gronder les vilains garnements.
Avec Stéphane Lourmel, on découvre un ancien souvenir sur une skieuse hors-pair.
Avec Danny Tyran, c’est une femme qui découvre les cachotteries de son mari.
Alors si comme moi, vous êtres friands, de lectures affriolantes, je vous recommande chaudement de découvrir ses récits.
Extrait :
Sans rien dire, j’obéis. Sa cravache remonte le long de ma cuisse, doucement, soupèse mes couilles, passe entre mes fesses, effleure celles-ci puis poursuit sur mes reins, où elle s’immobilise.
— C’est décevant qu’un garçon comme toi préfère les mecs !
— Vous n’avez pas encore remarqué qu’il n’y avait pas de filles ici ? ai-je protesté.
À cause de ma peau encore mouillée, le premier coup sur la fesse me fait hurler.
— Silence !
Sa cravache caresse mon cul. J’ai vraiment très mal. J’aimerais bien que quelqu’un arrive pour la surprendre.
Le Pensionnat de Gilles Milo-Vacéri
Un autre avis chez :
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- LES PASSIONS DE SASHA