Résumé :
Mon avis :
Afin d'aider sa famille qui court à la ruine suite à la maladie de sa mère, Delaine Talbot décide d'offrir sa virginité et ensuite son corps pour une période de deux années lors d'une vente aux enchères dans un club privé de Chicago.
Lors de la vente aux enchères, les références à Star wars m'ont bien fait rire, et je voyais exactement le gros bonhomme ressemblant à Jabba le Hutt derrière sa vitrine. C'est sûrement la partie de l'histoire qui m'a le plus attirée. Le fait de ne pas savoir sur qui Delaine risque de tomber, l'inconnu qui l'attend, la somme faramineuse qui a été dépensé.... Enfin vous voyez le truc quoi !! Mon petit cerveau est partie en ébullition à ce moment là.
Pourquoi les héroïnes de livres ont toujours leur première fois parfaite avec des mecs bien membrés, riches, beaux de partout ? C'est pas la vraie vie ! Moi, ma première fois était fade, sans saveur et j'ai pas voulu recommencer directement après. J'ai appris à aimer ça, bien plus tard quand j'ai rencontré mon mari et qu'on a ajouté du piment à la sauce. Là, l’héroïne s’envoie en l'air pour la première fois et après elle veut recommencer tout le temps.
Noah Crawford, lui est un peu bizarre au début de l'histoire. Il va acheter une nana aux enchères et ensuite il ne fait que s'excuser auprès d'elle pour ce qu'il a fait. Il aurait du y réfléchir avant tiens ! En tout cas, Delaine et lui c'est ce que j'appelle "L'amour Vache". Elle a un caractère de cochon et du répondant, et c'était carrément excellent par moment.
Et la fin, non mais c'est quoi cette fin ? Pourquoi je lis pas la VO moi ?
Bref, si vous avez aimé FSOG, la soumise et toutes les autres histoires dans le genre vous devriez beaucoup apprécier celle-ci.
Extrait :
J’entame un va-et-vient, mais je suis prise d’une envie involontaire de vomir qui déclenche une réaction en chaîne. Cherchant à me retenir et ne pas me répandre sur lui, je mords légèrement la peau sensible de sa bite. Il pousse un cri de douleur et me repousse sans ménagement avant de se lever d’un bond hors de portée de moi et de ma bouche assassine.
— Nom d’un chien ! jure-t-il avant d’examiner son membre. Vous vous foutez de moi ! Vous n’avez jamais sucé une bite de votre vie, ou quoi ? (Malgré la colère qui fige ses traits, il est toujours aussi beau.) Parce que je peux vous assurer que c’est la pire pipe qu’on m’ait jamais faite.
Là, c’est clair : je le déteste.
— Excusez-moi, je n’ai jamais…
— Taillé de pipe ? achève-t-il, incrédule. (Je secoue la tête.) Bon Dieu ! murmure-t-il en se passant une main sur le visage.