Cet argent tombé du ciel lui ouvrira-t-il les portes d’un palace, ou celles d’un enfer ?
Par où commencer ? J'avais été attiré par la couverture, c'est donc tout naturellement que mon choix c'est porté sur la petite croix pour sélectionner ce livre. C'était d'ailleurs le seul titre que j'avais sélectionné. Aussi quand j'ai eu le mail pour dire que j'avais été tiré au sort pour la masse critique j'ai été très heureuse. Et là c'est le grand flop !
J'ai sans cesse repoussé ma lecture, mais là je n'avais plus le choix à moins de 10 jours de rendre mon avis. J'ai donc commencé ma lecture et avec plus de 100 pages lus, rien le néant, c'est juste pas possible pour moi de continuer ce bouquin. Peut-être que ce n'est pas le moment idéal pour la lecture mais c'est plutôt le fait que je n'aime absolument pas ce genre de livre. Je pensais que comme il y avait de l'humour j'allais adhérer, mais non.
La seule petite chose que j'ai apprécié, a été le langage familier utilisée par l’héroïne Rosie Maldonne. Par contre à chaque fois que je voyais son nom de famille, ça me faisait penser à la chanson "Maldon" de Zouk Machine. Vous vous imaginer le truc ? Nettoyer, balayer, astiquer, casa toujours pimpante.......
Pour vous faire le topo sur l'histoire, Rosie vit des aides sociales, elle a trois enfants dont un qui n'est pas à elle, elle vit dans une caravane sur une aire désaffectée. Bref la vie ne lui fait de cadeau. Jusqu'au jour où elle trouve un petit paquet de blé dans 6 poubelles de la ville, ce même jour elle apprendra également la disparition du petit garçon de sa meilleure amie.
Elle se verra confrontée, à la police, à la mafia, un vieil homme riche qui va lui offrir pleins de choses. Bref, l'histoire est vraiment un peu tirée par les cheveux, tout est aussi gros qu'un camion 36 tonnes. Franchement, ça ne m'a pas vraiment emballé, si bien que je n'ai pas terminé le livre et c'est une première pour moi.
Faut dire qu'on était comme cul et chemise toutes les deux. Elle m'a tout appris : comment rédiger une demande de RSA - enfin avant on disait RMI - ; comment pourrir les employés du Pôle emploi - enfin, avant on disait ASSEDIC - quand les papiers traînent trop ; comment foutre dehors un bonhomme qui vous pique vos sous et qui baise à côté ; comment s'épiler au sucre chauffé et se teindre les cheveux au henné ; comment paraître à son avantage avec des soutiens-gorge à balconnets, si possible rouges.